Diesel, le mal aimé, focus sur une problématique « santé au travail »

Dans le cadre de la prévention des rejets nocifs, des moteurs thermiques Diesel utilisés sur des engins non-routiers, différentes zéolithes ont été étudiées pour leur capacité à piéger sélectivement les polluants CO, NO et NO2 de l'eau et de l'oxygène. L’objet de cette conférence grand public est de revenir sur les avantages et les inconvénients du moteur diesel découvert en 1892 par Rudolph Diesel. Après un contexte de santé au travail, et un rapide retour historique, une méthodologie appliquée au laboratoire est présentée.
Des calculs DFT ont été effectués sur une série de faujasites X et Y échangées par des cations monovalents. AgX et NiY ont été sélectionnés comme les matériaux les plus sélectifs. Les équilibres et des expériences en dynamique ont été réalisés pour (1) valider les calculs DFT et (2) proposer une comparaison entre les différentes solutions. Des investigations sur sa régénération ont montré qu’AgX offre de grandes performances et une stabilité à long terme. Cependant, bien que l'AgX se soit révélé être un piège très efficace, son affinité pour l'eau reste trop élevée. Le Nickel peut être une belle alternative.