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L'ozonolyse d'acétals insaturés de -70°C à 0°C pour donner des monoacétals de glyoxal est sans incident dans les solvants organiques, alors qu’elle conduit à des explosions dans des solutions aqueuses.
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Dans une atmosphère d’ozone, l’aniline est partiellement oxydé en son ozonide, composé blanc gélatineux et explosif.
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L’oxydation de l’hydrure d’antimoine par l’ozone présente un risque d’explosion, même à -90 °C.
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- PASCAL XIII, 1er fasc., p.294
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Dans une atmosphère d’ozone, le benzène est oxydé en acides formique, acétique, oxalique et en benzène triozonide. Ce dernier est un composé très explosif.
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Au-dessus de 20 °C, l’action de l’ozone sur le brome est explosive.
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- PASCAL XIII, 1er fasc., p.291
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L’interaction est rapide et devient explosive au-delà d'une pression totale d’environ 40 mbar, même à -104 ° C.
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Par action de l’ozone sur le camphre, on obtient un ozonide du camphre. Par distillation sous pression réduite (10 mm Hg) et une température comprise entre 50 et 200 °C, on obtient une violente décomposition.
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Un mélange d’ozone et d’oxyde de diéthyle donne lieu à la formation d’acétaldéhyde, acide acétique et peroxyde d’éthyle. Ce dernier est un composé explosif.
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Le produit de l’ozonolyse du 1,1-difluoroéthylène est un composé peroxydique sensible aux chocs.
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L’ozone peut réagir sur l’éthylène avec explosion. Cette réaction est due au caractère très instable de l’ozonide formé.
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Il ne paraît pas certain que l’ozone et le fluor réagissent ensemble, bien qu’un auteur cite un composé obtenu à basse température, explosif au-dessus de -23 °C.
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- PASCAL XIII, 1er fasc., p.291
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En phase gazeuse, à -104 °C, la réaction du bromure d’hydrogène avec l’ozone devient explosive dès que la pression dépasse 24mm Hg.
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- PASCAL XIII, 1er fasc., p.291
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L’ozone liquide explose au contact des matières organiques facilement oxydables. Les réactions d’oxydation sont favorisées par la présence d’humidité. Les composés organiques non saturés donnent des ozonides capables de se décomposer brutalement.
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- MELLOR I, p.894
- Encyclopédie des gaz p.1135
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Le mélange de difluorure de dioxygène et d’ozone explose à -148 °C.
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Le mélange de difluorure de trioxygène et d’ozone explose à -183 °C.
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Après ozonisation du trifluororéthylène dans une solution de chlorotrifluorométhane à -95°C, le réacteur ne doit être que légèrement chauffé (à -88°C) pendant la distillation cryogénique ultérieure. Si on le laisse se réchauffer à la température ambiante, le réacteur explose violemment. Le résidu de la distillation est peroxydique et probablement sensible à une brusque augmentation de température.
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