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L’acétylure de calcium et l’acétylure de rubidium explosent au contact de l'acide nitrique, et les analogues de sodium et de potassium réagissent probablement avec violence.
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De l’acide nitrique fumant projeté sur de l’acétone provoque une explosion immédiate. Un mélange à égal volume d’acétone, acide nitrique concentré et acide acétique à 75 % utilisé pour attaquer le nickel peut exploser spontanément quelques heures après avoir été préparé.
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- Prévention p.8
- MELLOR VIII, suppl.II, p.333
- Chem. eng. news p.56
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Les mélanges d’acide nitrique fumant et d’acétonitrile sont hautement explosifs.
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Par réaction sur l’acétylène, l’acide nitrique concentré conduit au trinitrométhane, solide fondant à 15°C, explosif à partir de son point de fusion.
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- PASCAL X, p.510
- GRIGNARD III p.300
- KIRK-OTHMER IX, pp.430-432
- WINNACKER et KÜCHLER VII, p.358
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Le mélange des acides nitrique, lactique et fluorhydrique utilisé comme liquide de polissage doit être préparé juste avant l’emploi car il est instable et ne doit pas être stocké. L’acide lactique réagit avec l’acide nitrique autocatalytiquement après une période d’induction produisant une température de 90°C et un dégagement de gaz 12 heures après.
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De nombreuses amines aromatiques (l'aniline, la N-méthylaniline, la 4-toluidine, la xylidine, la benzidine etc… et leurs mélanges) s’enflamment spontanément au contact de l’acide nitrique rouge fumant. Un mélange d’acide nitrique fumant rouge et d’amines aromatiques (exemple toluidine), en présence de triéthylamine, s’enflamme rapidement, même à -60°C.
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- BRETHERICK p.1573
- Chem. abstr. p.1573
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Le mélange anhydride acétique-acide nitrique peut former des composés explosifs tels que le nitrate d’acétyle et le tétranitrométhane. Les mélanges acétonitriques utilisés comme agents de nitration des alcools en particulier sont dangereux. Il est admis que la substance nitrante est le nitrate d’acétyle, composé très explosif.
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- MCA, case histories n°103
- C.R. Acad. sci. p.1114
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L’aniline est enflammée instantanément par l’acide nitrique concentré. Elle a été utilisée comme carburant pour fusée.
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- J. am. rocket soc. p.33
- Brennstoff Chemie p.117
- KIRK-OTHMER p.332
- MCA, case histories n°193
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L’attaque par l’acide nitrique contenant des produits nitreux peut être violente.
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L’attaque par l’acide nitrique contenant des produits nitreux peut être violente.
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L’acide nitrique fumant enflamme l’arsine en donnant une explosion.
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Au contact d’acide nitrique, le bismuth est porté à l’incandescence ; avec le métal fondu, il y a explosion.
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- MELLOR IX, p.627
- PASCAL X, p.504 et XI, p.710
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Au contact d’acide nitrique, le bore devient incandescent.
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La réaction avec l’acide nitrique concentré est explosive.
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Lors d’une démonstration de l'effet corrosif de l'acide nitrique fumant sur un tube de caoutchouc, peu après que la réaction vigoureuse initiale ait disparu, une petite explosion suivie d’une inflammation s’est produite. (Des composés du soufre présents dans le caoutchouc sont probablement impliqués).
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Le carbone très divisé est attaqué violemment par l’acide nitrique
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L’acide nitrique de densité 1,30 réagit violemment dès la température ordinaire.
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- PASCAL XVII, 2e fasc., p.84
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Le crotonaldéhyde s’enflamme spontanément avec l'acide nitrique concentré.
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La diméthylhydrazine est enflammée instantanément par l’acide nitrique concentré. Elle a été utilisée comme carburant pour fusée.
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Un mélange à égal volume d’acétone, acide nitrique concentré et acide acétique à 75 % utilisé pour attaquer le nickel peut exploser spontanément quelques heures après avoir été préparé.
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- MELLOR VIII, suppl.II, p.333
- Chem. eng. news p.56
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Le mélange des acides nitrique, lactique et fluorhydrique utilisé comme liquide de polissage doit être préparé juste avant l’emploi car il est instable et ne doit pas être stocké. L’acide lactique réagit avec l’acide nitrique autocatalytiquement après une période d’induction produisant une température de 90°C et un dégagement de gaz 12 heures après. Une solution de polissage chimique constituée d’acide nitrique, d'acide fluorhydrique (1 vol. chacun) et glycérol (2 vol.) a généré suffisamment de pression au cours du stockage pendant 4 h pour rompre le récipient en matière plastique fermé. Cela a été causé par un dégagement gazeux provenant de l’oxydation du glycérol par le mélange fortement oxydant. Une solution de polissage a été effectuée en mélangeant une solution A à une solution B. A contenait de l’acide nitrique, de l’acide fluorhydrique et du nitrate d’argent. B était du propylèneglycol. Le mélange a été fait à -10°C. Introduit dans un flacon en polyéthylène et bouché, il a explosé après 30 minutes de stockage.
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- J. chem. educ. p.A 956
- BRETHERICK p.1585
- Communication privée p.1585
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Les mélanges détonnent facilement par chaleur, friction ou impact.
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Les mélanges peuvent détonner.
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Pendant l'oxydation du sulfoxyde en sulfone, la concentration en eau dans le mélange réactionnel doit être maintenue au-dessus de 14% pour éviter le risque de détonation.
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Un inflammation peut se produire au contact de l’acide nitrique fumant.
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L’interaction dans le disulfure de carbone, même à -15°C, est violente.
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La réaction à température modérée avec l’acide nitrique est explosive
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Une solution de décapage composée de 85 % d’éthanol et 15% d’acide nitrique peut être décomposée avec explosion en présence d’un métal. Celui-ci provoque la formation d’oxydes d’azote, catalyseurs de décomposition. Le produit explosif serait l’acétaldéhyde susceptible de former avec l’air un mélange détonant (température d’auto-ignition : 185°C limites d’inflammabilité dans l’air : 4 à 55 % en volume).
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- Chem. eng. news p.1396
- MCA, case histories n° 1152 et 1582
- KIRK-OTHMER IX, p.332
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Ce solvant, un agent d'extraction dans le retraitement nucléaire peut se décomposer violemment en contact avec de l'acide nitrique. L’hydrolyse en butanol, suivie d'une violente oxydation catalysée par l'acide nitreux, est impliquée.
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Le mélange de 0,5 ml de formaldéhyde à 37 % et de 1,5 ml d’acide nitrique à 70 % conduit à une réaction violente avec bouillonnement, projections et dégagement de vapeurs nitreuses. Un excès d’acide nitrique est nécessaire pour observer une telle réaction.
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Le furfurol est enflammé instantanément par l’acide nitrique concentré. Il a été utilisé comme carburant pour fusée.
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- J. am. rocket soc. p.3
- Brennstoff Chemie p.117
- MCA, case histories n°193
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La réaction très violente de l’acide nitrique sur le germanium en poudre produit du dioxyde GeO2 et de l’oxyde d’azote NO.
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Du glycérol a été, par inadvertance, utilisé comme fluide dans un barboteur de gaz sur une usine d'acide nitrique.Il se produisit une explosion deux jours plus tard. Une solution de polissage chimique constituée d’acide nitrique, d'acide fluorhydrique (1 vol. chacun) et glycérol (2 vol.) a généré suffisamment de pression au cours du stockage pendant 4 h pour rompre le récipient en matière plastique fermé. Cela a été causé par un dégagement gazeux provenant de l’oxydation du glycérol par le mélange fortement oxydant.
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2,2,4,4,6,6-Hexaméthyltrithiane 828-26-2
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L’oxydation par l'acide nitrique concentré est violemment explosive.
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Les dérivés diéniques et acétyléniques s’enflamment spontanément au contact de l’acide nitrique concentré. Le cyclopentadiène réagit de façon explosive avec l'acide nitrique fumant, et s’enflamme sous atmosphère d'azote. Le dicyclopentadiène s’enflamme spontanément avec l’acide nitrique fumant rouge ou blanc, également en présence d'acide sulfurique. Les produits pétroliers brûlants détonent immédiatement en contact avec l’acide nitrique concentré. L’oxydation du p-xylène par de l'acide nitrique sous pression dans la fabrication de l'acide téréphtalique comporte des risques d'explosion dans les autoclaves et les systèmes de condensation.
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L’acide nitrique concentré enflamme la phosphine, le sulfure d'hydrogène, le séléniure d'hydrogène et le tellurure d’hydrogène.
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L’acide nitrique concentré enflamme la phosphine, le sulfure d’hydrogène, le séléniure d'hydrogène et le tellurure d’hydrogène.
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L’acide nitrique concentré enflamme la phosphine, le sulfure d’hydrogène, le séléniure d'hydrogène et le tellurure d’hydrogène.
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Le lithium s’enflamme au contact d’acide nitrique et la réaction devient violente en éjectant du lithium enflammé.
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La combinaison acide nitrique-magnésium est explosive.
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Le manganèse en poudre réagit avec incandescence et explose faiblement avec de l’acide nitrique.
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L’acide nitrique concentré peut causer des inflammations spontanées et même des explosions au contact des matières organiques telles que paille, sciure de bois, cellulose, déchets de papier et de coton, résines synthétiques, essence de térébenthine. Quand le feu s’allume, il brûle très vivement.
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- MCA, case histories n°1559
- Chem. saf. data sheet SD 5, p.6
- PASCAL X, p.510
- KIRK-OTHMER IX, p.332
- Chem. eng. news pp.50-51
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Une violente explosion est survenue pendant l’oxydation de mésitylène par l’acide nitrique en autoclave à 115°C. La réaction contrôlée conduit à l’acide 3,5diméthylbenzoïque. Dans le cas présent on suppose qu’une surchauffe locale a favorisé la formation de 1,3,5-tris(nitrométhyl)benzène et déclenché l’explosion de cette dernière substance.
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Dans l’action de l’acide nitrique sur les métaux, il se forme toujours d’abord un oxyde et ce n’est que dans un second temps qu’un sel prend naissance par action de l’acide sur l’oxyde. Si l’acide est concentré, la solubilité du nitrate formé est parfois très faible et rend la vitesse de réaction négligeable (passivité), c’est le cas de l’aluminium et du fer. Mais si l’acide est dilué, le sel devient soluble et la réaction est accompagnée d’un dégagement gazeux. Exemple d’accident : un fût en acier, fermé, contenant une solution à 7 % d’acide nitrique utilisée comme produit de décapage, explosa au bout de neuf heures.
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- MCA, case histories n°131
- PASCAL pp.507-509
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L’acide nitrique avec le méthanol donne une réaction très exothermique 6 HNO3 + 5 CH3OH ➝ 5 CO2 (g) + 13 H2O (g) + 3 N2 qui dégage 1 280 cal/g de mélange.
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L’oxydation de la 4-méthylcyclohexanone par l’acide nitrique peut provoquer une explosion si la température dépasse 76°C.
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Exemple de mélange capable d’exploser spontanément : 715 g d’acide nitrique à 70 % + 100 g de 2-méthyl-5-éthyl pyridine. Cette réaction dangereuse a été décrite comme méthode de préparation de l’acide 2,5-pyridine dicarboxylique. La température peut s’élever rapidement et déclencher une explosion en 90 secondes.
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Cinquante millilitres d’acide nitrique concentré à 90 % (d = 1,46) ont été versés dans un flacon en verre contenant déjà 1 litre de méthylisobutylcétone. Le flacon a été rebouché. Quelques instants après l’opérateur qui transportait le flacon sentit qu’il était chaud et qu’une légère ébullition du mélange se produisait. Il pressentit le danger et déposa la bouteille dans une sorbonne, mais au moment où il abaissait la fenêtre le récipient éclata, brisant les vitres de la sorbonne et blessant l’opérateur à un bras et aux yeux.
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Le nettoyage mécanique à l’aide de tiges d'un condenseur multitubulaire en acier inoxydable, bouché par un dépôt rigide de mousse polyuréthanne était laborieux et un nettoyage chimique avec de l'acide nitrique concentré a été tenté. Lorsque la réaction vigoureuse initiale a diminué en raison de la formation d’une croûte, une tige a été de nouveau insérée pour attaquer le dépôt, mais une explosion soudaine rompit le condenseur.
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L’action de l’acide nitrique sur la 2-nitro-4-chloroaniline produit entre autre l’oxyde du 4-chloro-3,6-dinitrophényldiazonium, susceptible d’exploser sous l’action de la chaleur ou d’un choc mécanique.
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- MCA, case histories n°1489
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L’acide nitrique concentré enflamme la phosphine, le sulfure d’hydrogène, le séléniure d'hydrogène et le tellurure d’hydrogène.
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Le phosphore blanc brûle dans la vapeur d’acide nitrique et peut réagir avec explosion.
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L’acide nitrique fumant conservé dans un flacon en polyéthylène est lentement décomposé en oxydes d’azote. Après un certain temps, la surpression peut provoquer l’éclatement du flacon et la projection d’acide
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Une pièce en polyméthylpentène réagit avec l’acide nitrique concentré sous l’effet de micro-ondes (720 watts) . Une fois la réaction initiée, elle se poursuit même après avoir coupé la source de micro-ondes.
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Un mélange aqueux d’acide nitrique, d’acide fluorhydrique et de 1,2-propanediol a donné lieu à une explosion après une demi-heure. Une solution de polissage a été effectuée en mélangeant une solution A à une solution B. A contenait de l’acide nitrique, de l’acide fluorhydrique et du nitrate d’argent. B était du propylèneglycol. Le mélange a été fait à -10°C. Introduit dans un flacon en polyéthylène et bouché, il a explosé après 30 minutes de stockage.
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Une solution de polissage a été effectuée en mélangeant une solution A à une solution B. A contenait de l’acide nitrique, de l’acide fluorhydrique et du nitrate d’argent. B était du propylèneglycol. Le mélange a été fait à -10°C. Introduit dans un flacon en polyéthylène et bouché, il a explosé après 30 minutes de stockage.
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Il s’enflamme spontanément dans l’acide nitrique de densité supérieure à 1,056 (105 g/litre HNO3).
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L’acide nitrique concentré peut causer des inflammations spontanées et même des explosions au contact des matières organiques telles que paille, sciure de bois, cellulose, déchets de papier et de coton, résines synthétiques, essence de térébenthine. Quand le feu s’allume, il brûle très vivement.
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- MCA, case histories n°1559
- PASCAL X p.510
- KIRK-OTHMER IX, p.332
- Chem. eng. news pp.50-51
- Chem. saf. data sheet pp.50-51
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La combinaison thiophène-acide nitrique est explosive.
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Des alliages de titane commerciaux mis en contact avec de l’acide nitrique fumant ont provoqué plusieurs accidents graves par suite d’explosions. La réaction semble favorisée par un état de corrosion en surface des alliages.
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- Techniques mondiales p.143
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Un mélange d’acide nitrique fumant rouge et d’amines aromatiques (exemple toluidine), en présence de triéthylamine, s’enflamme rapidement, même à -60°C.
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1,3,5-Triacétylhexahydro-1,3,5-triazine 26028-46-6
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Un mélange de nitrolyse était composé d’acide nitrique pur (+ de 99 %), anhydride trifluoroacétique et 1,3,5-triacétylhexahydro-1,3,5-triazine. La détonation a eu lieu à 30°C. Un gramme seulement de substance était mis en oeuvre. Il est possible que du nitrate d’acétyle très explosif se soit formé. La nitrolyse de composés acétylés exige des précautions importantes.
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- Chem. eng. news p.33
- Chem. eng. news p.5
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L’oxydation du trioxane en glyoxal par action de l'acide nitrique est soumise à une période d'induction, et la réaction peut devenir violente si l'addition de trioxane est trop rapide. La présence d'acide nitreux élimine la période d'induction.
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Pendant l'oxydation du sulfoxyde en sulfone, la concentration en eau dans le mélange réactionnel doit être maintenue au-dessus de 14% pour éviter le risque de détonation.
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