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Les résidus de zinc en poudre provenant de la réduction de l’acide acétique peuvent occasionner une inflammation à retardement lorsqu’ils ont été jetés dans une poubelle et qu’ils sont en présence de papier.
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Quatre grammes de nitrate d’ammonium mélangés à 1 g de chlorure d’ammonium, recouverts de zinc pulvérulent, s’enflamment spontanément lorsqu’on verse une goutte d’eau. Avec un mélange intime de zinc et de nitrate d’ammonium, une faible élévation de la température est suffisante pour provoquer une réaction violente. En présence d’un excès de zinc, le mélange explose. Cette réaction ne peut avoir lieu que si une quantité suffisante d’humidité et de matière organique est présente.
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- J. chem. educ. p.578
- PASCAL V, p.111
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Un conteneur en zinc contenant une solution concentrée de sulfure d’ammonium a éclaté sous la pression du sulfure d’hydrogène et de l’hydrogène libérés par la réaction du sulfure d’ammonium sur le zinc.
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- Sichere Chemiearbeit p.29
- BRETHERICK p.1213
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Un mélange de trioxyde de diarsenic et de limaille de zinc réagit explosivement sous l’action d’un chauffage.
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Un mélange contenant du nitrate et du dioxyde de baryum, du magnésium et du zinc a explosé sans qu'on puisse en trouver la cause, démolissant un petit atelier.
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- Haz. chem. reactions p.238
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Un mélange contenant du nitrate et du dioxyde de baryum, du magnésium et du zinc a explosé sans qu'on puisse en trouver la cause, démolissant un petit atelier.
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- Haz. chem. reactions p.238
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À la température ordinaire et près du point de fusion du zinc, le brome sec n’attaque le zinc qu’en surface mais si l’on ajoute de l'eau au brome, la réaction est très vive.
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Un mélange intime de caoutchouc chloré et d’oxyde de zinc ou de zinc en poudre en présence ou non d’un hydrocarbure réagit violemment aux alentours de 216°C. La décomposition du caoutchouc chloré commence vers 100-125°C.
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- Quart. saf. sum. pp.11-12
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Le zinc en poudre réagit avec incandescence au contact du disulfure de carbone en produisant du sulfure de zinc et du carbone.
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Le chlore parfaitement sec n’attaque le zinc qu’à haute température. La réaction est alors violente.
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En présence de carbone qui initie la réaction, le trifluorure de chlore réagit violemment avec le zinc.
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- MELLOR II, suppl.I, p.156
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En présence de carbone qui initie la réaction, le trifluorure de chlore réagit violemment avec le zinc.
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- MELLOR II, suppl.I, p.156
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Le zinc à l’état divisé et en masse, humidifié par de la vapeur d’eau, donne lieu à un dégagement d’hydrogène susceptible de s’enflammer par la chaleur de réaction. Au contact de l’air et d’une petite quantité d’eau, le zinc pulvérulent réagit en dégageant de la chaleur et peut devenir incandescent. La présence d’acide acétique et de cuivre diminue la période d’induction. La poudre de zinc humide peut s’enflammer spontanément alors que sèche, elle ne présente aucun danger.
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- MELLOR IV, p.474
- Haz. chem. data p.304
- BRETHERICK pp.1412
- PASCAL V, p.964
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Les halogénures aliphatiques réagissent avec le zinc. Dans certaines conditions, cette réaction peut être violente.
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Lorsque le mononitrate d’hydrazine est chauffé au contact du zinc, une décomposition accompagnée d’une inflammation a lieu à des températures légèrement supérieures à son point de fusion. Le nitrate d’hydrazine légèrement humide réagit plus violemment avec la poudre de zinc que le nitrate d’ammonium.
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- MELLOR VIII, p.327
- PASCAL V, p.111
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Une réaction violente se produit lorsqu’on fait tomber de l’eau goutte-à-goutte sur un mélange intime d’iode et de zinc en poudre. Il se forme de l’iodure de zinc. Une partie de l’iode est volatilisée.
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Une feuille de zinc réagit de manière explosive lorsqu'elle est chauffée avec du chlorure de manganèse anhydre.
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Les résidus de zinc provenant de la réduction du nitrobenzène en N-phénylhydroxylamine sont souvent pyrophoriques et doivent être conservés humides avant d’être éliminés.
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Sous l’effet d’un léger chauffage, le zinc devient incandescent au contact du fluorure de nitryle et s’enflamme.
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L’azoture de plomb mis en contact de zinc ou de ses alliages se transforme partiellement après un certain temps en azoture de zinc qui, au moindre choc, peut faire exploser toute la masse d’azoture de plomb.
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- Haz. chem. reactions p.133
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Le dioxyde de potassium oxyde le zinc avec incandescence.
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De la poudre de zinc finement divisée, mouillée par une solution d’hydroxyde de sodium ou de potassium à 10 % puis débarrassée de l’excès de liquide, s’oxyde en présence d’air ou d’oxygène avec incandescence.
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Le zinc pulvérulent s’enflamme au contact du bromure de séléninyle liquide.
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La réaction du sélénium avec le cadmium produit une incandescence. Cependant, la réaction est moins violente que celle du zinc avec le sélénium.
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Le chlorure de sélénium réagit violemment avec le zinc en poudre.
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Une pelle à main souillée accidentellement par de l’hydroxyde de sodium en paillettes a été utilisée ensuite pour du zinc pulvérulent et a provoqué l’inflammation de celui-ci. L’expérience réalisée au laboratoire a montré que l’addition d’une solution d’hydroxyde de sodium à du zinc pulvérulent provoque un rapide dégagement de chaleur suivi de la combustion du zinc. De la poudre de zinc finement divisée, mouillée par une solution d’hydroxyde de sodium ou de potassium à 10 % puis débarrassée de l’excès de liquide, s’oxyde en présence d’air ou d’oxygène avec incandescence.
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- Quart. saf. sum. p.14
- PASCAL V, p.96
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Le zinc en poudre s’enflamme dans le sulfate de sodium après chauffage.
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- PASCAL V, p.111
- Bull. soc. chim. p.975
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Un mélange pulvérulent de soufre et de zinc détone au choc.
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Lorsqu’on chauffe du dioxyde de titane avec du zinc, la réduction (partielle) s’effectue avec incandescence.
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