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Au travail, les atteintes allergiques, cutanées ou respiratoires sont fréquentes, mais méconnues et peu déclarées. Les conséquences socio-économiques peuvent pourtant être lourdes, ces pathologies étant susceptibles de conduire à une inaptitude des…

Ce dépliant s'adresse aux entreprises, tous secteurs d'activité confondus, pour les inviter à rechercher systématiquement, lors de l'évaluation des risques, les expositions potentielles à des agents sensibilisants (ou allergènes). Si un tel risque est…

Les asthmes en relation avec le travail regroupent ceux aggravés par des stimuli de l'environnement professionnel et ceux d'origine professionnelle, causés directement par l'environnement de travail.

De nombreuses substances organiques et quelques substances chimiques de bas poids moléculaire sont responsables de ces pathologies pulmonaires immuno-allergiques rares, non IgE médiées.

Ce guide capitalise les bonnes pratiques sur les chantiers de démolition permettant de réduire les expositions des opérateurs aux poussières et de diminuer les émissions dans l'environnement.

Les substances les plus souvent en cause sont les antibiotiques, les enzymes et les dérivés d'origine végétale (gommes).

Ces matériaux, utilisés essentiellement en décoration intérieure, exposent les travailleurs lors de la production, de la découpe à sec ou de l'installation.

Les agents sensibilisants des fumées les plus fréquemment cités sont les oxydes métalliques (nickel, chrome, aluminium, zinc...) et la colophane utilisée dans les flux de brasage.

Article qui présente les conclusions et recommandations de travaux américains sur le captage des poussières de silice sur les chantiers de rabotage routier applicables au contexte français.

L'asthme aggravé par le travail est habituellement défini comme un asthme préexistant aux expositions professionnelles, mais dont l'évolution des symptômes est influencée par celles-ci.